
Galette des Rois salle du Clos Neuf à Joué-lès-Tours le 19 janvier 2024
En ce début d’année, nous n’avons pas manqué la tradition de la Galette des Rois, toujours dans la salle du Clos neuf à Joué-lès-Tours, suffisamment grande pour accueillir comme il se doit nos 93 participants.
Ces derniers ont apprécié l’apéritif et ses canapés chauds et froids ainsi que le repas qui a suivi, toutes ces douceurs servies par le traiteur Tardivon.
Notre présidente a fait un récapitulatif des sorties, visites et randonnées qui se sont déroulées en 2023, en précisant que pour la sortie à Paris le nombre de participants était en forte diminution, engendrant ainsi un coût élevé. Nous allons réfléchir à la possibilité d’une autre formule. Elle n’a pas oublié de féliciter tout le conseil pour son implication et a dévoilé diverses activités prévues en 2024.






















Ce repas de galettes des rois s’est terminé par notre loterie et les photos des reines et rois.


Tout ce petit monde est reparti repu et content de cette journée.
Texte : Sylvie Megnoux
Photos : Michelle Favreau
Au travail
Cours de cuisine du 29 mars 2024


Entrée : Velouté de petits pois, petites perles sautées, chorizo grillé et filet de caille rôti

Plat : Filet de volaille fumé basse température, céréales confites crème d’ail et tuile de parmesan,

Dessert : Pomme Tatin revisitée


La dégustation
Photos : Louis Audoin
Orléans le 14 mai 2024
Le 14 mai 2024 l’ARCAM 37 proposait une journée-découverte de la ville d’Orléans qui réunissait 30 participants.
D’emblée, l’omniprésence de Jeanne d’Arc frappe le visiteur. Que ce soit dans la cathédrale, dans les rues, sur les places, dans l’hôtel Groslot (ancien hôtel de ville), on devine qu’elle occupe le cœur des orléanais qui la célèbrent chaque année le 8 mai anniversaire du jour où elle délivra leur ville de l’occupant anglais.
Notre visite se déroule une semaine après cette manifestation : la ville et la cathédrale sont encore parées des oriflammes qui rappellent cet évènement.


Notre parcours débute par la cathédrale, imposant édifice construit entre 1601 pose de la première pierre par Henri IV soucieux d’apaiser les tensions religieuses, et le 8 mai 1829 inauguration par Charles X. Cette construction de style gothique fait suite à un ensemble d’édifices qui ont subi les affres du temps, des incendies et des conflits entre les hommes, notamment les guerres de religion.
Ces constructions successives ont connu des évènements historiques de premier plan, comme la visite de Jeanne d’Arc ou le sacre de plusieurs rois de France. Hugues Capet y baptise son fils et ouvre ainsi la voie à la lignée des capétiens.



La cathédrale possède un ensemble d’œuvres d’art remarquables : le trésor de la cathédrale, des vitraux de différentes époques, des boiseries etc… Elle abrite ce qui serait un morceau de la vraie croix.





A proximité de la cathédrale se dresse l’hôtel Groslot, emblématique monument renaissance de la ville, édifié au XVIe siècle en brique rouge de Sologne par Jacques Groslot, bailli d’Orléans. Il est le lieu de la mort de François II éphémère roi de France. Ancien hôtel de ville, il abrite aujourd’hui la salle des mariages dans un décor de plafonds à caisson, murs tendus de toile peinte, lambris à moulures, mobilier recouvert de cuir de Cordoue et lourdement sculpté, tapisseries d’Aubusson etc…



La matinée se termine par une visite de la ville en petit train qui serpente dans les rues étroites de l’ancienne cité. Ce parcours permet de percevoir l’empreinte de Jeanne d’Arc sur la ville qui lui dédie maintes rues et places ornées de statues de la Pucelle.
Quand vient l’heure du repas, le restaurant Brin de Zinc nous accueille dans son bâtiment à colombage et décoration rétro style brocante vintage.




L’après-midi est consacrée à la visite du musée campanaire Bollée.
Jean Baptiste Bollée nait en 1715. Avec lui débute une lignée de fondeurs de cloches.
La famille Bollée est une dynastie d’ingénieurs-inventeurs, qui outre les cloches, sera présente dans l’automobile et les systèmes de pompage (éoliennes).
La fonderie d’Orléans a fait place à un musée. C’est Dominique Bollée, le dernier fondeur et huitième génération qui anime la visite.
« Il faut être à la fois fondeur, menuisier, forgeron et passer un ou deux ans au conservatoire pour connaître la théorie musicale", commente Dominique Bollée. Le tout en se formant sur le tas : il n'a jamais existé d'école de fonderie de cloches.
La technique de fabrication employée s’effectue toujours dans la grande tradition des fondeurs de cloches du Moyen-Age. Les moules des cloches sont toujours réalisés en argile et selon la technique de la cire perdue.
Le bronze de cloche appelé airain, est un alliage de 78 % de cuivre et 22 % d'étain. Le métal en fusion est versé dans le moule par un chenal. Quelques jours après la coulée, le moule calciné est brisé : la cloche apparaît grise et noire.




La cloche possède une note déterminée par sa taille et son profil. Plus une cloche est grosse, plus le son est grave, l'accordeur va enlever au burin de petites portions de métal à l'intérieur de la cloche pour que le son soit correct.
De 1838 à 2011, les Bollée ont construit, quelque 35.000 cloches pour, entre autres, 80 cathédrales en France, mais aussi à l'étranger, notamment pour la basilique de Yamoussoukro (Côte-d'Ivoire).
Née d’une alchimie complexe de la terre et du feu, la cloche est l'un des plus vieux instruments sonores connus. Les cloches rythment la vie quotidienne tant profane (indication des heures et des moments de l'emploi du temps) que sacrée : matines, angélus, messe, vêpres. Utilisées comme système d'alerte, elles signalent un danger avec le tocsin, une mort avec le glas, ou un événement majeur.



L'airain retentissant dans sa haute demeure
Sous le manteau sacré tour à tour chante et pleure
Pour célébrer l'hymen, la naissance et la mort
Lamartine
mais aussi

Eolienne

Le bus pour le retour du groupe !!!

Bélier hydraulique

Merci à Jean Pierre Pimbert, orchestrateur de cette belle journée de découverte
Photos : Michelle Favreau
Texte: Daniel Boyer
Voyage en Aveyron du 17 au 20 septembre 2024
36 participants, dont 25 de l’ARCAM, pour ce voyage en Aveyron, terre de traditions aux confins du Rouergue et de l’Auvergne.


1er jour :
Début du voyage dans la grisaille et le brouillard – à peine devine-t-on la chaîne des Puys en passant à proximité de Clermont-Ferrand.
Nous découvrons en fin de journée un paysage vallonné et boisé, vaches de l’Aubrac, toits de lauzes, avant d’arriver à Laguiole en Occitanie.
Visite de la coutellerie Honoré Durand, une entreprise familiale artisanale de forgerons et couteliers, créée il y a environ 200 ans à partir d’un couteau, le navaja, rapporté d’Espagne.
Après une présentation des phases de la fabrication des lames, ressorts, abeilles, platines et mitres exécutées dans la forge, un coutelier réalise devant nous le façonnage du manche d’un couteau de Laguiole (différentes bandes abrasives).
20 000 pièces par an, 12 couteliers, 1 couteau par jour et par coutelier.
« Laguiole » n’est pas une marque - brevet non déposé - mais une forme.



Installation à Gages, au nord-Est de Rodez, à l’hôtel « Causse Comtal ».
2ème jour :
Avec notre guide Patrick à l’accent qui roule, nous roulons à travers le Causse calcaire (eaux souterraines, dolines, végétation de genévriers, de chênes-rouvre) vers Rodez, la ville de Pierre Soulages, ancien oppidum gaulois devenu ville romaine puis ville épiscopale, dominée par la cathédrale Notre-Dame.


Tour de ville : Place du bourg, Hôtel de ville moderne - bel exemple de réhabilitation, grès rouge, verre et métal -, demeures médiévales, façades Renaissance (Maison dite d’Armagnac, ancien hôtel Jouéry devenu musée Fenaille), le Mazel – rare exemple de marché couvert médiéval conservé -, ruelles, chapelle de l’ancien collège des Jésuites….




Visite de la Cathédrale Notre-Dame de l’Assomption (13ème-16ème s), majestueux édifice en grès rose, construit sur un « puech » (colline) dominant la ville de Rodez : façade principale à l’allure de fort avec son mur infranchissable, austères meurtrières, clocher à la fine couronne de dentelle de pierre, gargouilles…
C’est un des plus grands ouvrages gothiques du Sud de la France, 87 m de haut, 30 de large.




Rosace flamboyante en partie cachée par un Orgue gigantesque aux 3505 tuyaux et au buffet entièrement sculpté, transept, nef centrale et bas-côtés, jubé du 15ème siècle qui a été déplacé, galerie de circulation en hauteur – le triphorium -.





Vitraux contemporains de l’Enfer et du Paradis, la Terre, l’Air, le Ciel, le Feu…aux couleurs vives, imaginés par Stéphane Belzère choisi à l’issue d’un concours organisé début 2000.
Vitrail « Stalag VI » représentant la libération du camp (de nombreux aveyronnais ont été prisonniers dans ce stalag).
Chapelle de la mise au tombeau (statues en pierre colorée 1523), salle de l’Adoration, en pierres, découverte en 1970.




L’après-midi est consacré à la découverte de Conques, dans la vallée du Lot, classé parmi « les plus beaux villages de France », haut-lieu de l’art roman, étape des pèlerins sur le chemin de Saint-Jacques de Compostelle.
Site en forme de coquille (conca en occitan) choisi au 8ème siècle par l’ermite Déodalus.
Maisons à colombages, village médiéval, cloître, abbatiale.
Visite de l’abbatiale Sainte-Foy des 11ème - 12ème siècles, classée au Patrimoine mondial par l’Unesco, où sont conservées les reliques de la Sainte, martyre chrétienne, dont se sont emparés, dans un monastère agenais en 866, les moines de l’abbaye, générant ainsi prestige et richesse.
Le Trésor de Sainte-Foy – le plus riche trésor d’orfèvrerie médiévale en France dont le reliquaire recouvert d’or et de pierres précieuses – est conservé dans un lieu jouxtant le cloître.


Notre guide nous détaille le remarquable tympan aux 124 personnages sculptés représentant le Jugement dernier, un chef-d’œuvre !
Eglise de pèlerinage avec de nombreuses ouvertures, une galerie d’hébergement, des vitraux colorés retraçant l’histoire de la Sainte.
Vitraux de Pierre Soulages commandés par Jack Lang et inaugurés en 1995 : lignes horizontales et obliques, verre à la granulométrie différenciée pour obtenir le « gris », Pierre Soulages cherchant à trouver la lumière propice à la spiritualité.




Les Pèlerins
La journée se termine par un arrêt imprévu au Canyon « trou de Bozouls ».

3ème jour :
Route vers Villefranche de Rouergue, ancienne bastide construite entre le 13ème et le 14ème siècle.
Nous nous promenons dans la ville aux rues droites assez larges, anciennes rues charretières, et aux rues traversières étroites – plan en damier, chaque parcelle ayant la même superficie -, jusqu’à la place du marché et ses arcades, bordée par l’église Notre-Dame.




Puis visite de la ferme de Jacques Carles, dit Jacky, à Monteils, ambassadeur du « bon goût » en Aveyron, chantre du bien-manger, truculent personnage, la gouaille d’un Raimu à l’accent du Rouergue !
Son homélie : « Que le canard vous conserve pour toujours » !
Visite des parcs à canards – 9 parcs séparés les uns des autres pour éviter la propagation de maladies, 2000 canards par an –, des installations de gavage et dégustation-apéro.


Déjeuner à la « Table Paysanne », 2 toques et un coup de cœur au Gault et Millau.
Grandes tables en bois dans une salle « ambiance yéyé » aux couleurs des photos de l’artiste Jean-Marie Périer. Cuisine au chaudron de cuivre et au feu de bois.
Un menu bien riche : une véritable « canardothérapie » !
Soupe rouergate, « l’oulado », salade de gésiers, petits fritons, pommes de terre aux pleurotes, manteau de canard farci foie gras, tarte maison, le tout arrosé de vin rouge et rosé…




On assiste au « flambadou », on chante, on débarrasse la table… Quelle ambiance !
Après-midi : découverte de bastides
Najac, sur un éperon rocheux contourné par l’Aveyron, village vert entouré de forêts, les maisons anciennes, la vue sur la forteresse médiévale.




Sauveterre de Rouergue (le programme initial « la bastide de Belcastel » n’a pu être respecté en raison d’une déviation routière tardivement annoncée) : une bastide royale du 13ème siècle.
La cité médiévale a conservé ses portes fortifiées, ses tours et ses douves.
Maisons de pierre Renaissance ou à pans de bois et encorbellements qui surplombent ruelles et corrieyons. Place centrale aux 47 arcades.




Collégiale Notre Dame du Puy de style gothique méridional.

La tradition des métiers d’art persiste : coutellerie, maroquinerie, ébénisterie, lutherie … avec le développement du Pôle des métiers d’art du Pays Ségali.
Dernier jour :
Sur le retour, arrêt à Figeac pour une exploration du quartier historique – église N.D du Puy (12ème-13ème) et son imposant rétable du 17ème en noyer, ruelles, place Champollion.




Déjeuner à Brive-la-Gaillarde avant la visite de la distillerie Denoix, entreprise familiale depuis 5 générations, maîtres liquoristes depuis 1839, labellisée « Entreprise du Patrimoine Vivant » depuis 2007.
Visite des chais macération, distillation… et dégustation de crème de noix, fenouillette et autres apéritifs…




Un circuit alliant découvertes de sites naturels variés – causse, ségala, forêts de châtaigniers, noyers – bastides au plan caractéristique, trésors architecturaux – cathédrale de Rodez, abbatiale de Conques -, et plaisirs de la table.
Photos : Michelle Favreau
Texte: Dominique Fichet
Spectacle de cabaret music hall
au Centre socio-culturel de Nazelles-Négron le 11 octobre 2024
Organisé par le Comité d’Animation de Pocé-sur-Cisse, un grand spectacle de Cabaret Music-Hall par la troupe Extravagance de Notre-Dame-d’Oé était proposé à l’ARCAM. Heureusement, le centre socio culturel est construit sur pilotis car, avec les intempéries, tout était inondé autour, sauf la route et le parking.
Vingt-huit personnes de l’amicale étaient présentes et ont assisté à la revue Illusion de la troupe Extravagance (un tour du monde en une soirée) en passant par Paris, et par le festival de Cannes ainsi que le carnaval de Rio, les terres d’Irlande et enfin par Las Vegas.


Devant un public de 240 personnes, nous en avons pris plein les yeux avec des costumes tous plus scintillants les uns que les autres sur des chorégraphies très abouties. Magie et acrobatie étaient également de la partie. Cette troupe composée de 3 hommes et de 6 femmes seulement nous a emportés le temps d’un après-midi dans un monde féérique.


A la fin du spectacle, un tirage au sort de 5 personnes a été effectué et des lots ont été remis (par chance une personne de l’ARCAM en a bénéficié). Un buffet a été également organisé par le comité d’Animation.

A la sortie du Centre socio-culturel, tous les hommes avaient un petit ballotin de chocolats et les femmes une rose (une agréable attention pour clôturer cette après- midi).
Une partie des bénéfices de la représentation sera remise à des œuvres caritatives pour la recherche médicale (enfants malades du cancer à l’hôpital de Clocheville, la sclérose en plaques et la maladie d’Alzheimer).
Texte : Sylvie Mégnoux
Photos : Jean-Jacques Brochard
Cours de cuisine du 16 octobre 2024













Tartare de saumon, cœur mousse avocat et condiments

Poire pochée aux framboises, mousse vanille et croustillant cacao façon crumble
Photos : Michelle Favreau
Sortie à Paris vendredi 13 décembre 2024
Visite guidée des « plus beaux passages du Palais Royal aux Grands Boulevards »
36 personnes ont participé à notre traditionnelle journée parisienne dont 32 ont suivi notre guide habituel, Monsieur Evremond Bac pour une découverte, au cœur de Paris, des plus beaux passages couverts du Palais Royal aux Grands Boulevards.

Une découverte très originale de ces passages, actuellement parés pour les fêtes, témoignage du Paris de la première partie du 19ème siècle et d’une révolution des pratiques architecturales - verrières, bois, verre et fer - et commerciales : accès réservés aux piétons.
Alliance de commerces au rez-de-chaussée et à l’entresol et d’habitations en étages.


Dans le Passage Choiseul, à l’origine voué aux commerces de tradition (« les nouveautés parisiennes ») subsistent aujourd’hui le graveur Boisnard, la petite entrée des Bouffes Parisiens, les établissements Lavrut (fournisseurs des artistes).
L’écrivain Louis-Ferdinand Céline y a habité dans ses jeunes années.
Le 1er Bar à sieste de France « le Zen Bar » y a ouvert en 2011 : avis aux amateurs de bien-être et détente !





Face à l’entrée de la Bibliothèque Nationale de France, la Fontaine Louvois réalisée en 1844 par Louis Visconti à la demande de Louis-Philippe est un hommage aux quatre grands fleuves français – Seine, Loire, Garonne, Saône.



Rue Chabanais, au n°1, plaque de Viollet le Duc, au n° 12 un escalier témoigne de l’existence d’une ancienne institution de la IIIème République : « le Chabanais », l’une des maisons closes les plus connues et les plus luxueuses de Paris, fermée après la loi Marthe Richard en 1946.


Le Passage du Péron au-dessus duquel Colette a vécu nous conduit à la Galerie du Palais Royal, construite par Richelieu pour lui-même et sa suite (1500 personnes)



Au 6 rue des Petits-Champs, la très belle Galerie Vivienne, appelée autrefois galerie Marchoux, est l’une des galeries couvertes les plus emblématiques de Paris, avec ses commerces de luxe ; elle a été percée en 1823 à l’instigation du Président de la Chambre des Notaires dans un style pompéien néo-classique. Nous découvrons son élégante verrière, son imposante coupole et son sol en mosaïque colorée. Elle est inscrite depuis 1974 aux Monuments Historiques.






Le n° 13 cache un vaste escalier : c’est là qu’a habité François Vidocq, vers 1840 : ex-forçat échappé du bagne, Vidocq devint le flic le plus célèbre de France et le fondateur de la première agence de détectives privés au monde. La légende dit qu’un souterrain reliait la galerie Vivienne aux jardins du Palais Royal…

Le Passage des Panoramas, percé en 1799, le plus ancien des passages couverts parisiens avec le passage du Caire, conduit aux Grands Boulevards.
L’allée centrale présente d’anciennes enseignes : graveur STERN, philatélie, carte postales anciennes


Le Passage Jouffroy, au cœur des Grands Boulevards, le plus récent, avec sa verrière à 2 pans, offre un panel de commerces hétéroclites. Il s’appuie sur 2 institutions, le Musée Grévin et l’hôtel Chopin.


Enfin, une fois franchie la rue de la Grange Batelière, le Passage Verdeau a une vocation culturelle, c’est le passage couvert des antiquaires.

Avant de quitter Paris, un passage sur le marché de Noël de la place de la Concorde, avec sa « forêt » de sapins illuminés, ses effluves de vin chaud, bretzels, gaufres et autres gourmandises, s’impose.


Texte : Dominique Fichet
Photos : Daniel Boyer, Michel Enault
Cours de cuisine du 6 décembre 2024













Cassolette de fruits de mer dans les coquilles St Jacques

Ballotine de volaille aux morilles, flan de légumes, riz noir, champignons

Tarte sablée fruits cuits et crus, crème citron meringuée et flambée


Photos : Michelle Favreau