Randonnées pédestres de l'Arcam 86 en 2025



27 personnes se sont retrouvées sur le parking de la piscine de Nieuil-l’Espoir malgré le froid. Après un partage café, thé, jus d'orange, galettes-brioches et broyé, nous nous sommes séparés. Le groupe de la plus longue marche s'est mis en route en descendant derrière la piscine vers la vallée, inondée trois jours avant mais ce jour-là très praticable. Pendant ce temps l'autre groupe (promenade plus courte) rangeait le matériel avant de partir dans une autre direction.
Le premier groupe longeait le Miosson avant de remonter sur la Voie Verte puis de passer devant le château de Chaumont et par Availles de remonter de l'autre côté de la vallée. En longeant un bois, il a rejoint la Malfosse et l'ancienne voie romaine qu'il a traversée pour ensuite rejoindre le Pinier. Après la pompe bleue et le passage à niveau, il s'est engagé dans un autre bois.
Le deuxième groupe a pris la direction du bourg de Nieuil puis passant devant le cimetière et la maison de retraite (proches) il a rejoint la ferme des volailles puis traversé la voie ferrée, sur un pont. Il est ensuite descendu au milieu des myscanthus avant de remonter vers Foulle. Après avoir traversé la D1 il est entré dans un bois.
Et c'est là que s'est produite « la Rencontre ». Les deux groupes se sont croisés dans une clairière. Un bref moment de salutations, quelques photos, puis chacun a repris son chemin. Le premier groupe a terminé par le parcours que le deuxième venait de faire, à l'envers bien sûr. Et le deuxième a pris un raccourci. Après avoir atteint le Pinier (passage à niveau, pompe bleue) il a rejoint directement le point de départ en passant à côté du stade.
Et pour conclure cette journée, tout le monde a rejoint les non-marcheurs à la Table de Vernon pour un repas où la bouche a doublement fonctionné, en mastiquant (un bon repas) et en bavardant (un peu de bruit). Quel plaisir de se retrouver 42 Arcamiens pour déjeuner !
En bref, une bonne journée, climat froid mais ambiance chaude, où on s'est retrouvé trois fois, au pot d'accueil, dans la clairière et au restaurant.















Michèle et Yves Devanne nous ont accueillis à Sanxay pour deux marches ; l’une de 6 km et l’autre de 10,5 km sur des chemins boueux, mais sous un ciel plutôt clément.
Avec 22 participants, la première randonnée organisée sur Sanxay s'est déroulée dans la bonne humeur et a charmé tout le monde.
A l'arrivée et dans une bonne ambiance, café et benoitines ont clôturé l'après-midi.














En ce premier jeudi de février, 21 courageux marcheurs se sont retrouvés à 8h45 au pied du clocher de l'église abbatiale de Saint-Savin, tant bien que mal à l'abri du vent frisquet, pour avaler un encas réconfortant avant l'effort. La reconnaissance des deux parcours effectuée par Maryvonne et Laurent le week-end précédent laissait craindre quelques passages humides et glissants.
A l'heure dite, le premier groupe composé de 14 marcheurs, s'engage pour une randonnée de 11 kilomètres en direction de Mont-Saint-Savin après avoir traversé le quartier de la Gassote. Peu après, Maryvonne entraine le second groupe sur la petite boucle de 7 kilomètres (et des poussières...). Ce petit parcours fera la part belle à l'ancienne voie ferrée Saint-Savin - Le Blanc, mise en service le 7 novembre 1887 et fermée aux voyageurs le 27 mai 1940. Bien entretenu, ce chemin de randonnée offre la possibilité de marcher dans des conditions optimales en admirant le beau patrimoine ferroviaire qui enjambe la Gartempe.









C'est peu avant ce viaduc que le grand parcours rejoint le petit après avoir fait une boucle par Roussac. Mais, Laurent avait décidé de pimenter ce chemin en quittant l'ancienne voie ferrée pour emprunter un chemin plus technique. Au fond de la vallée des Essarts, le sentier slalome le long de la voie en empruntant successivement cinq passages souterrains - véritables joyaux architecturaux - sous la voie. Là, bien que les flaques d'eau encore présentes le dernier week-end aient disparu, les pierres glissantes invitent à être vigilant et concentré.




La fin du parcours commun aux deux groupes rejoint le GR 48 (Chinon - Limoges) près de La Rochetalière. Ce sentier fait face à la vallée de la Gartempe vers laquelle il se dirige en traversant Saint-Germain. Le passage sur le point médiéval, construit au XIIIe siècle par les moines de l'abbaye de Saint-Savin sur l'axe Poitiers - Bourges, offre une vue remarquable sur la Gartempe et l'abbaye. Il est juste à regretter qu'un beau ciel bleu ensoleillé n'ait pas agrémenté ce dernier tableau. Las, le gris du ciel n'a pas affecté le moral des troupes, habituées à pire !





Pour finir, quelques marcheurs pousseront leurs pas jusqu'à l'intérieur de l'abbatiale de Saint-Savin (classée au patrimoine mondial de l'UNESCO) pour lever les yeux et contempler les 700 m² de fresques des XIe et XIIe siècles. Elles sont parmi les plus vastes d'Europe. Une invitation à y revenir pour prendre le temps de découvrir l'abbaye et son église plus en détail, en mode touriste.



Le repas pris en commun au Val de Gartempe à Jouhet, où 13 compères nous ont rejoints pour l'occasion, a été choisi et négocié par Maryvonne. Avec ses 5 plats dont un bon potage bien chaud en première entrée, ce petit festin convivial a sans aucun doute participé à ne laisser personne sur sa faim ce jeudi 6 février 2025 dans la belle vallée de la Gartempe.









Marche à Smarves avec 29 randonneurs le 23 février sous le soleil. Un parcours de 9 km depuis le centre - ville en longeant le Clain via Port Seguin puis le Chézeau dans les sous-bois rempli d’ails des ours et de fougères, passage obligé du gué de La Jardelle pour traverser les jardins ouvriers qui sortent de leur torpeur d’hiver. Retour vers Smarves par un peu de goudron moins agréable.
Une sortie à refaire en automne avec une végétation plus abondante et colorée











C’est avec beaucoup d’angoisse sur les conditions météo – pluie la veille, la nuit et au petit matin-que l’ organisatrice Catherine Raude Godard a accueilli à partir de 8h30 les 30 participants aux marches sur le parking haut de la maison du temps libre, à Vouneuil sous Biard. Mais la chance est avec les marcheurs et le temps fut calme toute la matinée.
Marc Der Mickaelian , ayant reconnu préalablement le parcours avec Catherine, a gentiment accepté de conduire la grande marche d’environ 11kms avec 14 participants alors que Catherine conduisait la petite d’environ 7kms avec 16 participants.
Après avoir pris quelques forces avec un café, un cookie maison, une galette ou des amandes, le grand groupe démarre d’abord en passant rue « du moulin » et se dirige vers un sentier qui longe la Boivre, en passant sous la ligne de TGV, de l’autoroute, puis monte vers le petit Mazais et redescend vers La Cassette, en longeant toujours La Boivre. Le groupe poursuit par une montée vers un belvédère avec une belle vue sur la vallée, puis une redescente vers la rue de l’Ermitage, passant devant le moulin de La Norée – face aux grottes actuellement fermées-et retour vers Vouneuil sous Biard, à partir du pont de l’autoroute par le même chemin.
La petite marche va emprunter le même chemin mais raccourci au niveau du moulin de la Norée.














Les deux groupes ont eu le plaisir de retrouver Jean Mark, un de nos anciens collègues dont la maison se situe face au moulin de Vouneuil sous Biard.


38 personnes ont pris plaisir à se retrouver au restaurant « Le Lonjoie » à Poitiers à partir de 12h15.















C’est par un beau temps ensoleillé que 21 marcheurs se sont retrouvés au stade de Migné-Auxances pour une randonnée d’environ 9 kms.
Après avoir parcouru quelques petits chemins bordés de maisons nous avons longé la communauté de Salvert. Cette communauté était à l’origine, en 1842, la communauté des sœurs de Sainte Philomène, Melle Dauvillier leur ayant fait don de cette propriété pour y installer une colonie agricole destinée à donner une éducation et un métier aux enfants abandonnés ou orphelins. Cette communauté accueille aujourd’hui des enfants de l’Aide Sociale à l’enfance et l’école Montessori .
Nous avons ensuite rejoint Chardonchamp où sont installés près de 17 ha de panneaux photovoltaïques.
Puis, nous avons continué en direction de la Rivardière , autrefois maison de redressement et aujourd’hui occupée par Audacia, organisme qui s’occupe des migrants.
Nous avons traversé les Prés Secs pour nous retrouver à Nanteuil , Rue de l’Abreuvoir , où nous avons pu admirer différentes maisons anciennes bien restaurées dont le Moulin qui est devenu « Gite de France ».
Nous avons pris le chemin qui est bordé par l’Auxance et nous avons fait une halte au cimetière des Remuets. Là, nous avons vu le monument aux morts rendant hommage aux 22 femmes ayant trouvé la mort le 8 décembre 1917 lors d’un incendie dans la fabrique de munitions des Lourdines à Migné-Auxances, ces femmes fabriquaient des gargousses – charges de poudre à canon -
Nous sommes rentrés par la rue de Giroir pour nous retrouver sur le Pont Contreau à Migné pour rejoindre le stade.




Aujourd'hui 3 avril 2025, rendez-vous au stade de Latillé pour une randonnée autour de la commune. 2 parcours : un de 12 km et l'autre de 8 km.
Après le casse-croûte traditionnel, le groupe (14 personnes) des 12 km part vers 9h15, mené par Marc Der Mickaelian, et le groupe (18 personnes) des 8 km emmené par Odile Der Mickaelian part vers 9h30.














Malgré quelques erreurs de Marc - qui ont nécessité quelques improvisations ! tout le monde est arrivé à bon port pour voguer vers le restaurant "le Monbeil" à Benassay, avec un repas roboratif, et, semble-t-il apprécié.
Rendez-vous pour les prochaines aventures !
















15 marcheurs se sont retrouvés place du champ de foire à Bouresse, à côté de la construction au toit de brandes. On pourrait croire à une maison néolithique, mais c'est une construction récente.
De là, direction nord sur un des itinéraires du Goberté, petit affluent de la Vienne.
Nous avons pu profiter de la beauté de la nature en cette belle journée ensoleillée, les feuilles des arbres qui nous disent le printemps, qui verdissent la nature, petit à petit.
Nous avons pu traverser un (petit) secteur boueux qui nous a raconté un hiver pluvieux (avec le seul pont de la balade), où les empreintes d'animaux parlent de la vie sauvage dans cette forêt de Gouex.
Nous sommes passés à côté d'un hameau où les maisons neuves, rénovées ou abandonnées auraient eu tant de choses à dire.
Après être à nouveau entrés dans cette même forêt, après avoir traversé la route vers Lussac, juste au-dessus du Goberté, à quelques pas de l'ancienne forge, nous avons longé un moment la rivière ou plutôt la jungle qui la longe, où nous avons pu essayer de décrypter le langage des oiseaux, les passages des animaux. On dit "do muces" en langue poitevine.
La campagne nous a dit sa richesse et sa variété, le colza, les panneaux solaires, le blé en herbe et les copeaux de bois.
Nous avons terminé notre promenade de plus de 10 km en rendant visite aux pierres qui parlent dans le cimetière où de très beaux cèdres encadrent un monument commémoratif spécial, un serpent enroulé autour d'une colonne qui égrène les noms des victimes locales de la "guerre de 14".
Retour au champ de foire, en passant devant l'église et ses sculptures, puis à quelques pas de là, au centre Espéranto (la langue internationale auxiliaire – voir Wikipédia) où des boissons et de la galette nous attendaient.
Une bonne après-midi où les jambes et les langues se sont activées, les unes plus que les autres, c'est selon. Promenade et bavardage sont les richesses de nos marches.
