Attention Maryvonne, ce n'est pas encore la pause pipi !
Y en a une qui veut se cacher derrière la photographe, mais qui oublie que les selfies, ça existe !
Non, non, il ne font pas partie de notre groupe ! Ils galopent plus vite, ceux là !
Les marcheurs commencent à arriver sur la place Raymond Poulidorde Chauvigny, dès 8h30. Le temps est un peu gris et humide, mais le café et le broyé, préparés, par Catherine et Jean-Louis permettent de se réchauffer.
La proximité des toilettes municipales offre la possibilité de prendre toute précaution avant le départ de nos 2 marches.
Sous la houlette du local de l’étape, Claude Papuchon, le groupe du grand circuit, au nombre de 16 personnes, part en premier en direction du Sud, mais pas vers le soleil, ce matin.
Les rives de la Vienne sont vite atteintes et par des sentiers assez propres, malgré quelques arbres couchés, le groupe se dirige d’abord vers l’église, en cours de rénovation, de St Pierre les Eglises, avant de poursuivre vers le Moulin Milon, charmant petit hameau en bordure de rivière.
Ensuite la montée est assez raide vers la Chauvelière, qui surplombe la Vienne. La route se poursuit à travers champs vers La Caronnière, avant de nous ramener vers les sentiers bordant la voie ferrée, qui allait jadis vers Le Blanc. Le parcours se termine en entrant dans Chauvigny par une pente impressionnante, permettant d’avoir une vue exceptionnelle sur le promontoire de la cité médiévale et ses 5 châteaux. Pour récompenser le rythme soutenu des randonneurs, ils ont même droit de faire, en supplément, le tour du jardin public et de son étang, où une petite île accueille de nombreux canards, poules d’eau et autres volatiles.
Les 12 kilomètres ont été allégrement dépassés, mais certaines en profitent encore pour admirer les vitrines de la grand’rue.
Après avoir rangé tasses, thermos et tables, le groupe de la petite marche est obligé de faire un petit covoiturage pour rejoindre le point de départ de la randonnée des Choucas, le camping municipal étant interdit de traversée.
Une vingtaine de randonneurs démarre donc vers le château des Groges –fief médiéval, rénové aux 18 et 19éme siècle - avant de se diriger vers le hameau de Beauvais. Ensuite, le chemin mène vers la ferme de La Perchaie, puis le village de La Barre. En revenant par un petit chemin sous les arbres, le groupe peut admirer également les châteaux de Chauvigny. L’objectif de 7 kms a été parfaitement atteint.
Les 2 équipes se retrouvent, toujours en absence de soleil, mais heureusement aussi de pluie, sur la grande place chauvinoise, pour rejoindre le restaurant Beauséjour, où l’équipe de Monsieur Nibaudeau nous a préparé un délicieux repas. Espérons que l’établissement, récemment mis en vente, nous permettra de revenir nous restaurer dans une ambiance aussi sympathique.



















Deux parcours de 14,3 km et de 7,9 km au départ de Sillars avaient été préparés pour cette sortie de février que nous avions espérée ensoleillée autant que les trente derniers jours de sécheresse inhabituelle en cette saison. Las, la pluie, attendue par beaucoup, avait choisi de revenir le jour même de notre rendez-vous, faisant reculer quelques-uns de nos marcheurs. Mais si peu.
Finalement le ciel ayant décrété une accalmie de deux heures à notre départ, la mise en jambes fut plutôt vécue de façon sereine. Les trois premiers kilomètres, communs aux deux circuits proposés, étant en terrain découvert, le groupe ayant choisi le grand parcours pouvait s’assurer que le second groupe suivait bien. Au troisième kilomètre, là où le second groupe prendra le raccourci en tournant à droite, le premier groupe rejoignit au sud, pour 2 km environ, le GR48 qui relie au départ de Chinon, le GR 3 au GR 4, quelque part dans le parc régional naturel du Périgord Limousin entre Rochechouart et Aixe-sur-Vienne.
Sur une route étroite et calme, en suivant la ligne de chemin de fer Poitiers-Limoges ouverte en 1867, nous découvrîmes une toute récente carrière de dolomie au moment d’obliquer notre course à droite en direction de Lussac-les-Châteaux.
Nous contournâmes, sans y pénétrer, la cité où mademoiselle Françoise de Rochechouart de Mortemart naquit le 5 octobre 1640, dans un château, parait-il. Mais de quel château s’agissait-il ? Car il n’en reste aujourd’hui que des vestiges trop diffus pour imaginer à quoi il pouvait bien ressembler. Il aurait été construit au XIIème siècle et aurait été déconstruit après la révolution française, à la suite de laquelle la commune prendra le nom de Lussac-sur-Vienne, avant de redevenir Lussac-les-Châteaux.
Au bord de l’étang, les piles de pont majestueuses, au pied desquelles nous passâmes juste après avoir pris la photo de groupe, sous les acclamations des canards et des oies (surtout des oies !), ne font qu'obscurcir le double mystère du château et du pont médiéval.
Eh oui ! On ne sait pas grand-chose du château et pas plus de l’usage de ce pont construit sur… un étang !
La pluie ayant fait son retour, nous ne nous attardâmes pas en ces lieux touristiques, d’autres sentiers pentus et rocailleux aux noms évocateurs nous attendaient. Au « Tré de saint Flix » (entendez Terrier de saint Félix ») succédera « Le Gué de la Biche » qui, selon la légende, en aval sur la Vienne, révélé par une biche aux tailles extraordinaires, permettra aux armées de Clovis, roi des Francs, de traverser la rivière en crue pour aller affronter Alaric, roi des Wisigoths, en l’an 507. Nous n’irons pas au gué. Pas cette fois-ci. C’était trop loin.
Rejoignant, au kilomètre 10, le circuit commun au petit parcours qu’une météo plus clémente aurait rendu bucolique, nous avons pu apprécier malgré la pluie la partie la plus agréable de notre randonnée. Entre la passerelle sur le ruisseau des Grands Moulins au creux du vallon et le chemin pentu en sous-bois par lequel nous rejoignîmes le village de Villeneuve, le paysage champêtre aurait mérité un petit rayon de soleil.
A l’angle de la chapelle construite en 1842, nous avons emprunté la route des Croix. Sur notre droite, le clocher refait en 1875 de la très ancienne église saint Félix de Sillars (Xème), nous guidait tel un phare, vers notre destination finale. Mais il ne fallait pas manquer d’apprécier la vue sur le château des Chirons au-delà des pâturages et du ruisseau boisé.
Il était temps, pour le groupe ayant opté pour le grand parcours, de rejoindre ceux qui avaient déjà bouclé le petit. A la salle des fêtes de Sillars, mise à notre disposition par notre ami et ancien collègue Patrick Royer, maire de la commune, qui nous aura fait le plaisir de nous rendre visite le matin à notre arrivée, le repas préparé par le patron du restaurant « Le Val de Gartempe » était servi aux 57 convives rassemblés pour leur plus grand plaisir.
es marcheurs commencent à arriver sur la place Raymond Poulidorde Chauvigny, dès 8h30. Le temps est un peu gris et humide, mais le café et le broyé, préparés, par Catherine et Jean-Louis permettent de se réchauffer.
La proximité des toilettes municipales offre la possibilité de prendre toute précaution avant le départ de nos 2 marches.
Sous la houlette du local de l’étape, Claude Papuchon, le groupe du grand circuit, au nombre de 16 personnes, part en premier en direction du Sud, mais pas vers le soleil, ce matin.
Les rives de la Vienne sont vite atteintes et par des sentiers assez propres, malgré quelques arbres couchés, le groupe se dirige d’abord vers l’église, en cours de rénovation, de St Pierre les Eglises, avant de poursuivre vers le Moulin Milon, charmant petit hameau en bordure de rivière.
Ensuite la montée est assez raide vers la Chauvelière, qui surplombe la Vienne. La route se poursuit à travers champs vers La Caronnière, avant de nous ramener vers les sentiers bordant la voie ferrée, qui allait jadis vers Le Blanc. Le parcours se termine en entrant dans Chauvigny par une pente impressionnante, permettant d’avoir une vue exceptionnelle sur le promontoire de la cité médiévale et ses 5 châteaux. Pour récompenser le rythme soutenu des randonneurs, ils ont même droit de faire, en supplément, le tour du jardin public et de son étang, où une petite île accueille de nombreux canards, poules d’eau et autres volatiles.
Les 12 kilomètres ont été allégrement dépassés, mais certaines en profitent encore pour admirer les vitrines de la grand’rue.
Après avoir rangé tasses, thermos et tables, le groupe de la petite marche est obligé de faire un petit covoiturage pour rejoindre le point de départ de la randonnée des Choucas, le camping municipal étant interdit de traversée.
Une vingtaine de randonneurs démarre donc vers le château des Groges –fief médiéval, rénové aux 18 et 19éme siècle - avant de se diriger vers le hameau de Beauvais. Ensuite, le chemin mène vers la ferme de La Perchaie, puis le village de La Barre. En revenant par un petit chemin sous les arbres, le groupe peut admirer également les châteaux de Chauvigny. L’objectif de 7 kms a été parfaitement atteint.
Les 2 équipes se retrouvent, toujours en absence de soleil, mais heureusement aussi de pluie, sur la grande place chauvinoise, pour rejoindre le restaurant Beauséjour, où l’équipe de Monsieur Nibaudeau nous a préparé un délicieux repas. Espérons que l’établissement, récemment mis en vente, nous permettra de revenir nous restaurer dans une ambiance aussi sympathique.












Jeudi 16 mars, nous nous sommes retrouvés 40 sur la Place du Souvenir, au pied de l’Abbaye de Nouaillé Maupertuis, pour nos 2 balades dans les bois et les champs autour, encouragés par le rituel café croissants du départ.
Les 14 plus audacieux se lançaient sur la virée de 12 km que Dominique avait préparée, tandis que les 26 plus modestes, néanmoins courageux, parcouraient les 8 km de la petite boucle avec Maryse, de l’abbaye à la Cave aux loups, et de la tuilerie au chemin des écoliers.
Quelques passages délicats avec la pluie des jours précédents mais point de glissades ou de jambes cassées.




Conformément à la coutume, tous, et d’autres en plus, se sont retrouvés à la Boussole que personne n’avait perdue ! (restaurant la Boussole à Mignaloux Beauvoir).







Première marche sans repas à Saint-Sauvant, jeudi 30 mars 2023 à 14 h.
Combien allions-nous être à ce rendez-vous nouveau format, un peu loin de Poitiers ??? 10 ? 15 ? eh bien non, 19 ! Excellente surprise !
Sous la conduite de Philippe et Maryse, nous avons parcouru une dizaine de kilomètres dans la campagne de Saint-Sauvant la « piane » (plaine en poitevin-saintongeais encore parlé par les anciens), accompagnés par un vent constant alimentant un parc de 7 éoliennes.
Au détour des chemins nous avons vu des puits, construits à l’initiative de Xavier Bernard, personnage important de St-Sauvant, la maison où Robert Doisneau avait trouvé refuge en 1940, la Chaire à Moïse dont on ne connait pas avec certitude l’histoire.
Bien sûr, les guides ont rappelé la particularité de cette petite commune rurale : longtemps, le nombre de protestants a été supérieur à celui des catholiques et les conflits entre les deux communautés étaient réels.
Nous nous sommes séparés vers 16 h 30 sans avoir pu partager un dernier verre, car plus de café ouvert dans ce bourg.



On se reconnait entre cousins !










Le rassemblement s’est effectué à partir de 8h45 sur le parking de l’église et du vieux cimetière, au centre du village de Quinçay. Le temps est nuageux mais sans pluie ni vent, ce qui était très agréable pour randonner
Café, thé et gâteaux « maison » préparés par Catherine Raude Godard et son mari Philippe attendaient nos collègues retraités près du parvis de l’Eglise : 38 personnes présentes pour effectuer à partir de 9h 30 une randonnée en 2 groupes,11kms pour la grande marche emmenée par Catherine, 7,5 kms pour "les petits marcheurs" qui suivait Philippe Godard .
NB / Bienvenue à 3 nouveaux marcheurs : Jean Claude Nogherot, et Bernard Pétonnet et son épouse Marie-Claire qui ont effectué la petite randonnée
Quatre marcheurs avaient annoncé ne pas participer au déjeuner.



Les deux parcours se sont effectués sur le même circuit, en passant tout d’abord ensemble devant le lavoir de Quinçay, puis les 2 groupes se sont séparés, la grande marche allant voir le logis de Pré Bernard (+3,5kms) , et la petite passant directement par Château Gaillard, Les Roches, les falaises de Beauvoir, puis à nouveau les Roches, le lavoir des Roches puis l’Eglise en passant par l’entrée du bourg.






À l’issue des 2 marches, les deux groupes se sont dirigés vers Vouillé, par la D12 pour déjeuner au restaurant « Les Wisigoths » pour un repas convivial très apprécié par tous
38 personnes se sont retrouvées dont 4 non marcheurs qui nous avaient rejoints, dans la partie "Grill" du restaurant réservée spécialement pour le groupe.










Quatorze heures, les cloches de l'Eglise sonnent le départ de la randonnée autour de Saint Maurice la Clouère,
Menée bon train cette balade de 12 kilomètres semble être du goût des participants, Parcours fait de chemins blancs -que les pluies n'ont pas endommagés !! - et de sentiers ombragés, Le temps était clément et propice à cette partie de « prise d'air »,
Quelques belles rencontres tout au long du chemin,, Tout d’abord Bourriquet nous a tenu la conversation et a profité des largesses des visiteurs pour déguster quelques brins de luzerne puis prés de l’arrivée nous avons eu droit à un concert fort apprécié de Chanteclerc et sa chorale,
Dix sept heures, les cloches de l’Église sonnaient la fin de cette randonnée.
Le point de rendez-vous était au parc de Gorande dans les hauts de Vouille.
Odile Der Mickaelian avait préparé des gâteaux "maison" accompagnés de thé et de café.
31 personnes se sont séparées en 2 groupes :
- l'un pour une marche de 12 kms menée par Marc Der Mickaelian
- l'autre pour une marche de 7,3kms suivant son épouse Odile
Le temps était agréablement ensoleillé malgré un vent un peu frais






Aux alentour de midi, au parc de Gorande, Odile et Marc ont invité les marcheurs à une dégustation de vins
de leurs enfants, vignerons près de Bergerac, après quoi, tout le monde s'est dirigé, à pied ou en voiture, au restaurant du " Cheval blanc".
41 personnes se sont ainsi retrouvées au repas qui ponctuait cette agréable journée

Alain Guillon est le GO de cet après-midi. Il nous attend à l'ombre sous les arbres de la place de l'Eglise à Mignaloux-Beauvoir. Nous nous retrouvons à 12 volontaires ( le 13éme n'est pas venu par superstition).
Alain nous entraîne à travers le vieux et petit bourg de la commune, puis vers l'immense zone des Magnals en construction.
Nous passons devant le site des fours gaulois (qui produisait du bronze à l' époque) et un jardin partagé, riche en biodiversité, mais pauvre en légumes.
Nous contournons ensuite la zone commerciale pour rejoindre les chemins au milieu des bois (Bois Joli et Bois carré). Nous atteignons ainsi les bordures de la commune de Nouaillé , à la Moudurerie et au Chalet Maupertuis.
Puis nous nous dirigeons vers les bois de Saint Pierre avant de bifurquer vers Nouaillé par le bois de la Garenne et son chemin des Ecoliers. Nous apercevons en contre-bas l'abbaye et le bourg médiéval avant de prendre le chemin du retour en traversant les 2 voies ferrées menant vers Limoges ou Jardres (pas de TGV par ici) .
Vers 17 h nous retrouvons notre point de départ en pleine forme , bien que légèrement fatigué par la chaleur de ce mois de mai, qui nous emmène vers l'été précocement.
Nous avons parcouru allégrement 11,7 kms en 2h 40'59" dans la bonne humeur.




Eliette et Roland SAVIGNY avaient préparé un sympathique apéro, avec des alcools maison, fort apprécié et une trentaine de joyeux convives s’installèrent avec leurs tables de pique-nique, sous les feuillages épais de la cour de l’ancienne école de Salles en Toulon, bordée par un petit ruisseau rafraîchissant.
Le repas fut copieux, voire pantagruélique : chacun ayant apporté de quoi nourrir largement ses voisins. Ainsi notamment, les desserts furent échangés entre les différentes tables au plus grand plaisir des gourmands, et Bernadette Montreuil avait assuré le café en conservant en réserve un thermos de l’accueil matinal.
Ensuite, l’après-midi, malgré la chaleur, fut bien occupé : des parties de pétanque acharnées opposèrent une dizaine de boulistes pros ou amateurs.
Certains comme nos amis du LCL , préférèrent un sport plus tranquille ; la Belote. Et d’autres y allèrent même de leur petite sieste ou d’une promenade digestive autour du ruisseau.
Et il était largement plus de 17 heures quand tout le monde prit, à regret, le chemin du retour









Dernière marche sans repas avant les vacances estivales à Nouaillé-Maupertuis !
A 14 h, nous nous sommes retrouvés... à 3 pour une marche de 9 km dans la verdure de Nouaillé-Maupertuis. Après ½ heure de marche sous la pluie, le soleil a pointé son nez et ne nous a plus quittés pendant les 2 h suivantes. Après les Bois Impériaux et le chantier déboisement/reboisement, la voie verte, nous avons rejoint le gué de Mortaigues puis la voie romaine pour un retour dans le centre de Nouaillé. Bien que nous n'ayons été que 3, nous avons passé un agréable moment et ri de bon coeur !






Rendez-vous à partir de 8h30 sur le site de la Grange Ouverte pour le café d'accueil avec un temps frais mais sans pluie.
Une intervention de Monsieur BLANC, élu et responsable du site, nous a permis de découvrir le lieu et les différents projets.
A la suite, deux groupes se sont formés pour le petit et le grand parcours.
Le petit de 8,700 kms mené par Philippe avec 21 personnes: Départ du bourg, Le Magnoux, Feuillebert, l'école du Parc, Moulin Vieux, La Millière avec son vieux pont et retour sur Romagne.
Le grand de 13,700 kms mené par Jean-Luc avec 16 personnes: Départ du bourg, La Millière, Moulin Vieux, Commenjard, Le Bujé, Les Buisonnets, la passerelle de la Cueille, le Moulin de la Cueille, le Châtelier, la Genevrière, Feuillebert, le Magnoux et retour sur Romagne.
Nous nous sommes retrouvés ensuite à l'Auberge du Clain à Sommières du Clain pour un déjeuner très convivial (40 participants).


















Nous nous sommes retrouvés à 38 marcheurs devant La Hune, comme d’habitude pour le petit café accompagné de quelques douceurs.
Un temps frais nous a surpris au départ, mais le soleil nous a rejoints.
Un premier groupe est parti pour le « petit parcours » mené par Brigitte. Départ par les petits chemins pour le bourg et pour accéder à la route de Gençay que nous avons traversé avant de descendre dans les bois jusqu’au Miosson. Nous l’avons longé pour retourner au bourg. Ici le groupe s’est divisé. Une partie est remontée directement à la Hune, une autre a fait le tour le long du Clain pour remonter au parking. Ce détour d’un bon Km en plus en a fait un peu souffrir quelques uns, mais ils l’ont fait. Bravo !
Le grand parcours, mené par Gérard, a suivi presque le même chemin au départ et à l’arrivée, avec un passage plus important le long du Miosson, des arrêts sur les ponts et une remontée du côté de l’Abbaye Ste Croix.
Tout le monde s’est retrouvé à la Belle Aurore pour un apéro bien mérité et un bon repas




Nous nous sommes retrouvés à 25 marcheurs sous les ombrières du parc des expositions de Poitiers, comme d’habitude pour le petit café accompagné de quelques douceurs.
Nous avions eu quelques inquiétudes en raison du temps pluvieux, très pluvieux des jours précédents sur le nombre de participants. Des défections pour la marche, mais tous les inscrits ont maintenu leur présence au repas...
Le matin de la marche, pas de pluie, annoncée seulement en fin de matinée.
Un premier groupe est parti pour le « petit parcours » mené par Bernadette et Jacqueline (une amie qui avait reconnu le parcours avec nous) puis un deuxième "grand parcours" mené par Maryse et Jeanine.
Départ par la Roseraie, découverte pour nombre des participants. Evidemment elle est plus belle au printemps.
Puis marche par des chemins bucoliques, le long du golf de Chalons, vers le Breuil Mingot (la campagne à la ville). Nous sommes passés devant le four à pain du Breuil Mingot, restauré par l'association des habitants du Breuil Mingot. Chaque année, des événements (marche, vide grenier,...) y sont organisés avec cuisson de pain.
Ces randonnées ont été aussi l'occasion de découvrir de belles demeures.
En fin de compte, de belles randonnées un peu <gadouilleuses> mais sans pluie.
Marcheurs et mangeurs se sont retrouvés au Restaurant l'Atelier au Grand Large pour un apéro bien mérité et un bon repas


















Vingt-quatre personnes au rendez-vous sur la place du 14 juillet à St Maurice, un record pour les marches sans repas !
Merci à tous ces participants.
Nous sommes partis dès 14 h pour 2h30 de marche à travers la campagne, guidés par Catherine Sansiquier, boucle qui nous a permis de traverser les villages de Puy Félix et La Liardière, par un temps sec, un peu frais mais agréable pour marcher. Nous avons suivi la Clouère à plusieurs reprises.
Très bel après-midi dans la bonne humeur.





30 marcheurs s'étaient réunis dès 9 heures à l'aire de repos du Broussa à Saint Julien L'Ars.
Après le traditionnel café et ses accompagnants préparés par Jacqueline et Claude PAPUCHON, 2 groupes se sont formés pour découvrir la campagne autour de St Julien, pour un parcours de 8 kms pour le petit circuit avec 18 participants, et 11,2 kms pour le grand circuit avec 12 marcheurs.
Cette rando s'est effectuée par un beau temps pour un mois de décembre, pas de pluie, pas de vent et une température positive.
Ensuite nous nous sommes retrouvés, marcheurs et non marcheurs à 40 au restaurant Le Corto à Savigny L'Evescault autour d'un repas copieux et tout fait maison.








Dernière marche de l’année 2023.
Une douzaine de bons marcheurs sont partis de Smarves pour 9 km -croyaient-ils- par un temps presque ensoleillé vers les bois de St-Pierre. Mais c’était sans compter sur les pluies diluviennes des jours précédents et les moindres creux ou vallons étaient remplis d’eau, ce qui nous a parfois obligé à faire des détours, mais toujours dans la bonne humeur. À la fin 11,2 km pour une randonnée conviviale dont on se souviendra !