Randonnées pédestres de l'Arcam 86 en 2024



Nous avions rendez-vous à Jazeneuil pour nos marches avec repas ce jeudi 18 janvier. Aurions-nous de la pluie comme les jours précédents ? ou du verglas ? 7 personnes inscrites avaient déjà annulé leur participation à la marche. Malgré tout, nous nous sommes retrouvés 21 participants à la maison des Assoc’s mise à notre disposition par la mairie de Jazeneuil pour le traditionnel café d’accueil.
Après discussion, il a été décidé de ne faire qu’une seule marche, la longue aurait été rendue difficile avec la pluie des derniers jours.
Sous la conduite de Michel et Maryse, nous voilà donc partis découvrir la fontaine de Mélusine dans laquelle Jean-Jacques va repêcher deux magnifiques salamandres. Puis, après une montée un peu abrupte, nous avons cheminé jusqu’au pont de Moutgoulin que nous avons traversé avec précaution, les planches étant bien glissantes et la Vonne en dessous bien virulente. Nos pas nous ont ensuite conduits devant le Four à Chaux construit en 1880 et qui est resté en service jusqu’en 1946.Après avoir croisé des baudets du Poitou et des lamas, nous avons fini notre marche bon enfant de 8 km en faisant le tour de Jazeneuil, charmante petite bourgade rurale. De là nous avons repris nos voitures pour aller retrouver nos amis non marcheurs au Bistroquet de Lusignan et y déjeuner à 36 !





















14 heures ! Le temps est magnifique, le ciel bleu « d'Azzuro », après l'arrivée de quelques retardataires (il ya plusieurs parkings dans le bois) , une quinzaine de participants sont dans les starting-blocks sur le parking de la salle de Givray à Ligugé.
Nous retrouvons avec plaisir Jacques Savin (ARLCL) et son épouse, absents depuis longtemps de nos sorties.
Nous prenons le chemin bordant la grande pelouse de Givray, pour nous diriger vers le bourg de Ligugé, en escaladant l'escalier qui permet de nous retrouver au-dessus du cimetière pour admirer la vallée du Clain et le panorama vers Smarves.
Notre groupe passe, ensuite, en surplomb la jolie maison de style orientale, ayant appartenue à l'écrivain J.K Huysmans (la rue porte son nom).
Ensuite cela devient plus sportif avec la montée très raide de la rue de la Chaîne, permettant de découvrir un nouveau panorama sur Ligugé, son église et son abbaye. Malheureusement nos amis du LCL sont obligés de nous quitter car leur santé est encore fragile, mais ils espèrent nous rejoindre plus longtemps une autre fois;
Passage devant le Gymnase J-P Gomez, autre personnalité locale, dans le domaine de l'athlétisme, avant d'atteindre l’Imprimerie Aubinn.
Après ce petit périple urbain, nous regagnons le couvert du bois du Moureau puis la forêt de Ligugé avec la traversée de la route très passagère de Saint Benoît à Ligugé. L'obstacle franchi par toute la troupe, nous atteignons par l'allée des Dolines, la Vallée des Merveilles et la rude descente du Gripet menant à la Faravelle. La petite barque à chaîne ne nous emmènera pas sur l'autre rive du côté Saint Benoît: le Clain est trop vigoureux cet après-midi.
Nous nous contentons de suivre la rivière sur un sentier très humide, bourbeux par endroit et même carrément inondé là où la berge est très basse.
Enfin nous remontons par notre chemin de départ vers le centre de Givray, en admirant les magnifiques cèdres à multiples troncs.
Obligation de secouer nos chaussures en regagnant nos voitures, car la terre de Givray est de bonne amitié, elle a bien collé à nos semelles: le soleil de ce bel après-midi n'a pas encore asséché les chemins.
Prochain rendez-vous est déjà pris à Vernon, le Jeudi 6 février pour une nouvelle aventure.











9 h, nous voilà une quarantaine de marcheurs réunis autour du traditionnel café d’accueil avant de nous séparer en 2 groupes, l’un de 20 personnes pour la marche de 12 km et l’autre de 21 personnes pour la marche de 5,5 kms autour de Vernon.
Jean-Louis, en retard à la suite d’un rendez-vous, rejoint la grande marche à marche forcée.
La bonne humeur est au rendez-vous pour affronter la boue ou l’eau stagnante dans divers chemins, mais la succession de champs, de bois, de vignes nous fait oublier ces petits désagréments.
Des chiens de chasse à courre nous saluent par leurs aboiements. Quémandent-ils une caresse ou le droit de sortir de leur enclos ? A chacun son interprétation !
Et nous voilà dans les bois de Vernon, les branches sont encore nues de feuilles,… en revanche, les forestiers sont au travail et il nous faut enjamber les troncs d’arbres abattus.
La petite randonnée terminée 9 marcheurs désireux d’en faire plus ont poursuivi sur un autre chemin et ont ajouté 3 kms à leur compteur.
Puis tout le monde s’est retrouvé au restaurant « la table de Vernon » pour déguster une carbonade flamande et un sublime tiramisu, le tout fait maison !











Ce sont 27 marcheur(euse)s qui se sont retrouvés le 15 février par un bel après-midi ensoleillé au Stade de Migné-Auxances pour une randonnée d’environ 8 km.
Après avoir traversé la cité des Erables, nous avons parcouru le chemin qui mène au Pont de Verneuil, puis nous avons longé la rivière Auxance qui traverse la commune de part en part en décrivant de nombreux méandres, elle y faisait tourner une dizaine de roues de moulin.
Après avoir traversé la rue principale nous avons grimpé la rue de Sigon d’où l’on peut voir le château qui est aujourd’hui occupé par des Carmélites, il est fermé à la visite. La partie la plus ancienne est le donjon qui fut reconstruit sous Louis XI. Nous sommes ensuite arrivés sur la place de Migné où il y avait autrefois un lavoir et un moulin où l’on faisait de la farine.
Une petite anecdote : sur la place se trouve le monument aux morts qui est surmonté d’un énorme coq en pierre, à la dernière guerre à l’approche des Allemands ce coq fut démonté pour être muré sous l’escalier de la mairie, mais, surprise,à son retour sur le monument il lui manquait une aile ?
Nous sommes arrivés devant l’église Sainte Croix qui doit son nom à l’apparition d’une Croix Miraculeuse dans le ciel en 1826. Quelques-uns sont entrés pour admirer à l’intérieur les fresques peintes par Marie Baranger (artiste peintre qui a consacré sa vie à la peinture et à l’expression sacrée), de très beaux vitraux, un retable monumental et un chemin de croix en céramique.
Puis nous avons rejoint le Stade par la rue de la Péninguette et les petites ruelles. Cet après midi s’est déroulée dans la bonne humeur.







C’est avec beaucoup d’angoisse sur les conditions météo – pluie la veille, la nuit et au petit matin-que les organisateurs Catherine Raude Godard et son conjoint Philippe, ainsi que Marc et Odile Der Mickaelian ont accueillis à partir de 8h30 les 36 participants aux marches sur le parking de la Fontaine de Ringère, sur la D12 après Quinçay en direction de Vouille.
Mais Ô miracle, la pluie a cessé et le soleil a montré son nez dans la matinée. Après avoir pris quelques forces avec un café et un morceau de gâteau ou fruits secs, les deux groupes s’élancent ensemble, derrière la Fontaine de Ringère, par la forêt pour rejoindre le hameau de Ringère, puis traverser la D12 vers Bois Fremin en longeant l’Auxances qui déborde pour atteindre Masseuil et son château. Durant cette marche les deux groupes se sont séparés, et si le petit groupe rejoint Le Vivier et retrouve la Fontaine de Ringère par la forêt après 6,5kms de marche, le grand groupe par contre traverse Masseuil et rejoint par une petite route à travers champs Le Grillas et revient par la forêt à la Fontaine -pour se nettoyer les pieds un peu boueux -après une marche remaniée à cause des intempéries de 10,5kms










45 personnes ont pris plaisir à se retrouver autour d’une très bonne paella au restaurant « Le Cheval Blanc » à Vouillé à partir de 12h15. La table, c'est l'endroit de détente et de convivialité par excellence







Jeudi dernier, 24 marcheurs très motivés se sont retrouvés sur le parking de la Hune à St Benoit.
Nous sommes partis sous un beau soleil pour une sympathique promenade de 9km autour de St Benoit, où chacun a pu « tomber » la veste à cause de la chaleur.
Après un départ perturbé par un accident sur la rocade, nous avons contourné les nouvelles cités derrière le Grand Large, pour rejoindre Fontarnaud, Gennebry et le Petit St Benoit. Nous avons alors pu regagner le bourg par la route qui longe quelques jardins au bord des étangs.
Un arrêt au dortoir des Moines nous a permis d’admirer des expositions originales et de flâner un peu. Puis nous sommes remontés sur le parking de la Hune par un petit chemin.









La chance est avec nous ce vendredi matin, le temps est doux sans pluie pour ce rendez-vous des marcheurs au centre bourg de Lavausseau, parking de la place de la commanderie. 2 circuits : - le plus grand de 11,8 kms avec 18 marcheurs mené par Pascal Popinet et Marc Der Mickaelian, a montré quelques difficultés avec des passages très boueux - le plus petit, raccourci à 5,5 kms car certains chemins sont impraticables, avec 16 marcheurs, mené par Annie Popinet et Martine Bernard.










Le repas a été pris dans une bonne ambiance à l’auberge de la Tannerie pour 43 personnes







Départ à l’air de repos au coeur de la Forêt le 18 avril à 14H30. Une douzaine de personnes étaient présentes. La météo fraiche mais ensoleillée a permis de faire un parcours comme prévu, d’environ 10 kilomètres, avec entrain et bonne humeur. Un sentier en lisière, nous a fait traverser des champs de colza au parfum si particulier.

Découverte des ruines de la Branlerie
Le quartier général des maquisards se situe aux fermes de La Branlerie. Cet ancien hameau est, depuis 1941, déserté par sa population qui a préféré se rapprocher du bourg de St-Sauvant. La ferme de La Branlerie constitue un refuge idéal au cœur de la forêt. De plus, La Branlerie dispose de deux citernes recueillant l’eau de pluie et d’un four à pain pouvant servir de dépôt à munitions.
Le matin du 27 juin 1944, des Allemands et des miliciens pénètrent dans la forêt de Saint-Sauvant. Les maquisards sont encerclés. 4 vont être tués au combat, c’est notamment le cas du Capitaine Bernard. 27 autres maquisards sont exécutés, les fermes de La Branlerie sont incendiées et sept prisonniers sont déportés.

Des rangées d’asphodèles longent les fossés encore gorgés d’eau.
Tous les sentiers sont quant à eux bien asséchés. Il y a encore quinze jours, certains parcours étaient impraticables car inondés.


Nous nous sentons bien petits sous la hauteur des grands chênes.


Quelques stèles pédagogiques nous montrent une fosse podologique ( terre rouge à châtaigniers) et les diverses essences de la forêt : les chênes sessiles
En plus de servir pour l’ébénisterie, le Chêne sessile de la forêt de Saint-Sauvant ( 90° %) est utilisé pour la merranderie (activité qui consiste à produire des lattes pour la fabrication de tonneaux). Depuis des siècles, il est connu et reconnu pour ses qualités exceptionnelles (grain fin, croissance lente et régulière) et pour conférer ce goût si particulier aux vins. De plus, depuis le 8 juin 2022, la pratique sylvicole mise en place en forêt de Saint-Sauvant entre autres, pour obtenir cette qualité de chêne est inscrite au patrimoine culturel immatériel de l’État, confirmant la reconnaissance du savoir-faire des forestiers.
Après un long week-end très ensoleillé, nous avons craint que la pluie vienne s'inviter à notre marche en Moulière. Bien que le temps ait été gris, nous n’avons pas eu de pluie, nous sommes passés à travers, on va dire qu'on l'a échappé belle !!
Après le traditionnel café d'accueil et quelques gourmandises, les marcheurs se sont divisés en 2 groupes. L'un, composé de 16 personnes et conduit par Jean-Jacques, est parti pour une marche d'environ 11 km. L'autre, composé de 15 personnes et conduit par Pierrette, est parti pour une marche d'environ 7 km.
La forêt de Moulière, ancienne forêt royale, tire son nom des pierres à moulin (les meulières) qui étaient extraites du sol argileux de la forêt. Avec ses 6 800 ha, elle est la plus grande du département de la Vienne. On dit qu'elle est le poumon vert du département. On y trouve essentiellement des chênes et des pins maritimes.
Une partie est classée "réserve naturelle" avec ses landes de bruyère et ses mares permanentes qui sont la conséquence de l'extraction des pierres à moulin.
La faune et la flore y sont très riches.
Après avoir sillonné les allées plus ou moins boueuses, avoir entendu quelques oiseaux, ce fût l'heure de nous rendre au restaurant de St Georges où 47 personnes ont pris place pour un bon repas.





Après avoir sillonné les allées plus ou moins boueuses, avoir entendu quelques oiseaux, ce fût l'heure de nous rendre au restaurant de St Georges où 47 personnes ont pris place pour un bon repas.





Le 28 mai par une belle journée de printemps, nous étions 18 personnes à venir découvrir les sentiers de Smarves. Le parcours unique de 7,5 km, conçu pour éviter la canicule du moment, nous a permis de découvrir les ruisseaux de Chezeaux dans les sentiers ombragés, en évitant les chemins boueux et inondés.
Désolé si les normes européennes de distance n’ont pas été respectées à la lettre, mais n’oublions pas que nous sommes tous, et resterons toujours, des Gaulois cabochards qui n’en font qu’à leur tête dans la bonne humeur détendue de retraité.
Il nous a manqué la potion magique à la fin.





Rendez-vous à 9h15 sur le terrain de Chabannes à Salles en Toulon. Après un café gourmand, départ de 30 marcheurs pour une randonnée de 7 Km à travers les parcs à bisons de la Roussalière et retour par les 2 rives
de la Vienne en passant sur le pont de Cubord.
Comme toute peine mérite récompense, un apéritif convivial attend les randonneurs avant le pique-nique au bord de la Dive (ce qui explique le nom de VALDIVIENNE : fusion de Morthemer, Salles en Toulon, Saint Martin la Rivière).
Jeux de boules, farniente meublent l'après-midi dans un cadre ombragé.
Vers 18h les participants se séparent heureux de cette journée ensoleillée.



















Notre ami Guy Grémillon nous avait invité à parcourir des chemins à St Benoît autour du Clain, en partant de son domicile, 55 rue de Poitiers, au lieu-dit Jappe-Chien (le rendez-vous pour la randonnée du 9 août sera au même endroit à 9 h).
Cet indigène de St Benoît (son grand-père a construit la maison qu'il habite) nous a accueilli ,avec le café, dans son très agréable jardin. Les autres locaux, Jean-Claude et Gérard furent évidemment les premiers arrivés et la troupe, forte d'une dizaine d'Arcamiens prit la direction de la Hune.
Avant le rond- point nous avons bifurqué sur la gauche pour descendre vers le Clain, sur le chemin de randonnée classique, en passant devant le petit château de la Mérigotte. Mais bientôt, Guy nous a entraîné par un sentier étroit vers un sublime point de vue, dominant la vallée du Clain , les stades des Varennes, jusqu'aux falaises de l'Ermitage.
Après quelques photos du panorama, depuis ce bloc de granit, appelé Roc à Midi ou du Cherche-Midi, le groupe repart vers la Villa Bloch, chargée de souvenirs, et descend vers le Clain par un petit chemin transversal. Au bord de la rivière, nous pouvons admirer quelques arbres centenaires, dont les pieds baignent quasiment dans l'eau du Clain.
Nous traversons le Miosson pour nous diriger vers le pied du Viaduc et atteindre la ripisylve et le bayou, bordés par le Clain. Guy et Jean-Claude nous rassurent, les caïmans n'y ont encore mangé personne (mais avec le réchauffement, ils viendront peut-être un jour). Ensuite nous suivons la rive jusqu'à la Faravelle (caravelle des farfadets, selon l'un des autochtones) qui est en réparation suite aux crues de l'hiver et atteignons la station de pompage de la source qui alimente la ville.
Nous gravissons ensuite le chemin qui mène sur la crête des rochers de Passelourdain et avons le plaisir, avant de franchir le pont de la voie ferrée Poitiers-Limoges, de rencontrer nos amis du LCL, Jacques et Brigitte Savin, qui font la petite balade que la santé de Jacques lui permet d'effectuer.
Pas question pour Jean-Claude de rentrer, sans passer sur le Viaduc et c'est par ce monument local que nous regagnons la cité médiévale, en faisant une halte à la boulangerie dans l'optique du pique-nique.
Nous voici , à nouveau, dans le repaire de Maître Guy, qui nous sert un pineau de sa fabrication, fait avec le raisin de Noah de sa vigne : une treille à côté de la maison et le reste entourant tous les murs de son jardin. Impressionnant !
Nous ne sommes pas une grande foule, mais la bouteille sera entamée et vite finie, tant le breuvage est divin ! Jeanine, qui s'est levée trop tard ce matin pour se préparer, est obligée de retourner chez elle (elle est de la commune, également) pour chercher son méloué, mais elle ne perd rien pour attendre, notre hôte a de la réserve et on lui trouve un verre à son retour.
Nous sommes ainsi bien installés sous l'arbre à palabres de Guy- un énorme mûrier qu'il a conduit et taillé en forme d'un véritable parasol.
Son chien , un sympathique setter anglais, nous tient également compagnie et il ne jappe pas
Les retraités se laissant submerger par un trop plein d'obligations.... nous ne restons que 3 à partager nos rillettes de Tours, pâté à la champenoise, farci du boucher de St Benoit, ou taboulé, arrosés d'un petit Graves.
Bref le bonheur dans ce petit paradis que Guy remettra à notre disposition le 9 août après nous avoir emmené vers la vallée du Miosson, en principe. Un rendez-vous à ne pas manquer.







Malgré cette période de vacances, nous étions 14 à nous retrouver chez Guy Gremillon à partir de 8 h 30 pour prendre le café et attaquer une seconde balade estivale à Saint-Benoît e, sous les frais ombrages de la vallée du Miosson.
Après avoir traversé le parc de Gravion et franchi le Miosson à côté du restaurant Le Bistrô (sans s’y arrêter) nous avons longé la rivière par le petit sentier qui la surplombe jusqu’à la route de Gençay. Après le franchissement dangereux de cette départementale, très fréquentée et à vive allure, nous retrouvons le chemin qui borde les étangs (…de grandes mares) du Petit Saint-Benoît et continuons à suivre les berges du Miosson en essayant d’éviter les nombreuses racines que développent les arbres en surface pour essayer d’aller chercher l’eau toute proche.
Alors que nous nous rapprochons du gué qui mène soit vers la Cossonnière, soit vers Puy Joubert, une méchante racine agrippe le pied de notre amie Annie Page, et patatras, elle tombe de tout son long et sa tête heurte une autre racine. Résultat : une déchirure au menton et l’auriculaire droit gonflé (la visite médicale diagnostiquera une légère fracture nécessitant une attelle au doigt meurtri pendant 15 jours).
Ayant pensé avant tout à sauvegarder ses lunettes, Annie retrouve peu à peu ses esprits avec l’assistance de tout l’équipe. En refusant qu’on vienne la rechercher en voiture, elle décide, courageusement,de revenir à pied à notre point de départ.
Nous modifions un peu notre circuit pour raccompagner notre blessée, et la promesse de dégustation du délicieux pineau au vin de Noah de Guy lui redonne le moral.
A travers les bois et les cités entourant Saint-Benoît, nous regagnons sans autre accident le domicile de Guy, route de Poitiers. Son chien Horus et la bouteille de pineau promise nous attendent. Annie apprécie encore plus que d’autres, l’apéritif maison qui la réconforte un peu.
Nous ne resterons ensuite et malheureusement que 4 à pique-niquer dans la salle à manger de notre hôte, pour profiter de sa fraicheur, alors que la chaleur du début d’après-midi ne nous permet pas de profiter de l’ombre du magnifique mûrier.
Une troisième sortie estivale est alors envisagée pour la fin du mois.








Le rendez-vous a été fixé à 8 h 15 sur le parking de la Hune à Saint-Benoît. Nous ne sommes que 6 présents. Et les absents ont tort, comme de bien entendu. Ils ont sans doute été effrayés par notre annonce un peu forcée d’une marche de 15 kms à allure soutenue…
Notre guide autochtone,Guy Grémillon, nous emmène dès 8 h 30 vers le chemin de la Mérigotte. Nous dépassons le petit château, pour rejoindre par le chemin secret, connu de Guy depuis son enfance, le site du Roc à Midi, qui nous avait tant plu au mois de Juillet. Nos marcheuses et marcheurs sont à leur tour émerveillés. Quelques photos et nous repartons rejoindre les bords du Clain depuis la maison Bloch en passant par le Bas des Sables.
Nous zigzaguons ensuite sur les petits ponts en bois qui enjambent divers bras du Clain ou la grande passerelle pour découvrir au bord de l’eau des arbres centenaires et impressionnants de force, le stade la Varenne, la maison du Petit Goret, le fleuve Léthé (endroits bien connus des Poitevins … au siècle dernier). Nous continuons pour rendre visite à Calvin, mais il a quitté sa grotte depuis longtemps pour rejoindre Genève.
Certains commencent à fatiguer, mais nous continuons notre divagation jusqu’à la Faravelle, récemment réparée pour faire un aller-retour entre Saint Benoît et l’autre rive du Clain sur le territoire de Ligugé et sa Vallée des Légendes. Et personne n’est tombé à l’eau.
Sur le chemin du retour, Guy nous a promis qu’il ne resterait plus qu’une côte. Mais elle est rude ! celle qui mène du centre de la ville à son domicile. Et nous sommes tous heureux de déguster, comme pour les deux marches précédentes, le fameux pineau qui nous permet de terminer gaiement le cycle de nos randonnées estivales.
Les 14 kms en 4 heures nous ont enchantés par la variété et la beauté des paysages bordant notre petite rivière pictave.








Jeudi à 14 h, beau temps, un peu frais et bon petit vent du Nord : Jean-Jacques Michaud voit arriver ses marcheurs qui garent, les uns après les autres, leurs voitures le long des mains courantes du stade champêtre de Lavoux. Pas de problème pour trouver, car Jean-Jacques avait confectionné 2 magnifiques panneaux pour nous orienter.
Nous nous retrouvons ainsi une bonne quinzaine pour démarrer notre périple, au cours duquel notre guide nous précise que nous parcourrons la campagne assez plate, mais bien boisée, tout en découvrant les 3 châteaux voisins.
Peu après le démarrage sur un petit chemin goudronné, point de château, mais un grand hangar métallique dont les poutres ont été tordues et les tôles cintrées, récemment par le feu de la paille qu’il contenait : un impressionnant exemple des vicissitudes du monde agricole moderne.
Un peu plus loin, nous atteignons une belle propriété appartenant à la famille Fink : pas d’odeur de chocolat dans l’air, mais deux affectueuses biquettes se précipitent au grillage pour nous saluer… ou attendre un croûton de pain !
Par les bois et les taillis, nous faisons ensuite le tour du Château du Bois Dousset, nous admirons son beau portail en pierre, ses jardins bien entretenus, le bâtiment principal, de style Renaissance (classé aux Monuments historiques) et entouré des douves médiévales, le logis annexe avec ses 3 chambres d’hôtes. En faisant le tour des murs d’enceinte en très bon état, Jean-Jacques nous fait découvrir une fosse à loup, qui était destiné à piéger cet animal, épris de liberté, mais gourmand en moutons.
Ce bel ensemble doit pouvoir se visiter lors des journées du Patrimoine.
Nous prenons ensuite les sentiers qui passent à proximité du château de Coudavid. Plus récent, il date du XIXème. Il est devenu une maison de vacances, équipée pour les locations : pourquoi n’iriez-vous pas y passer quelques jours ?
Nous revenons enfin vers Lavoux, en passant à côté du Château de Montlouis. Ce fief de la Baronnie de Chauvigny est situé sur la commune de Jardres. Rien à voir avec le site tourangeau, réputé pour son vignoble, mais cet élégant manoir cache son bâtiment central et ses deux ailes latérales dans un splendide écran de verdure. Sa salle voûtée du 15ème demeure sous la construction actuelle.
Pas de visite possible et la photo a été prise en cachette pendant que le chien aboyait.
Au retour à notre point de départ, Pierrette, l’épouse de Jean-Jacques nous attendait pour nous offrir une sympathique collation, bien appréciée après quand même un périple de plus de 11 kms et aussi une véritable sortie culturelle.
Merci beaucoup pour cet agréable après-midi à Pierrette et Jean-Jacques.















Quel temps magnifique au Bugé, hameau de 3 fermes dominant la vallée du Clain ! Au-dessus des nuages, le soleil doit briller ! Mais en dessous le déluge et chacun annonce le score de son pluviomètre, avant de se précipiter sous la pluie battante, vers l’abri où Maryse, Catherine, et Jeanine avaient préparé les tables avec café, thé, broyé maison et autres gâteaux.
En se restaurant et en se réchauffant, nous attendons les 2 ou 3 marcheurs égarés sur les routes entre Sommières et Champagné.
9h45 passée, tout le monde est là ! La pluie ne cesse guère et plusieurs décident de renoncer à se mouiller et d’attendre sagement l’heure du repas à Sommières.
La grande marche ne rebute pas 9 courageux (ou inconscients) qui prennent la descente vers le Clain sous la houlette de Jean-Louis.
Un premier chemin humide, mais non boueux ? nous fait passer à côté du défunt « chêne généreux » qui n’est plus qu’un gigantesque amas de bois mort, après avoir étendu son imposante ramure pendant quelques siècles. Un peu plus loin après une descente précautionneuse, le groupe accède à la grotte de Roche Vieille, qui a peut-être accueilli quelques lointains ancêtres préhistoriques. Un peu de profondeur mais pas de peintures rupestres.
Le sentier en longeant le Clain nous mène ensuite jusqu’à une route au-dessus du hameau de la Baudonnière. L’équipe commence à être bien mouillée, mais pas le jeune chevreuil, qui après avoir regardé ces bipèdes un peu fous, s’élance vers les fourrés. Nous poursuivons sur le chemin qui mène à Percejault (une ferme y a abrité, avant qu’ils ne viennent travailler à Touffenet, nos anciens collègues Annette et Jacques DERANLOT), puis la Combaudière. Ensuite c’est l’arrivée à Says, avec son pont qui nous permet de gagner l’autre rive du Clain, et de prendre le chemin du retour.
A travers les bois de châtaigniers, nos aventuriers arrivent aux Moisnières, puis retrouvent les bords de la rivière, avant d’atteindre le Logis de la Millière, dans lequel ils s’avancent discrètement jusqu’au portail de pierre pour admirer les bâtiments de style Renaissance, entourés par les murs d’une ancienne forteresse moyenâgeuse, dominant le Clain.
La descente vers le hameau de la Millière, avec ses maisons bien entretenues (avis aux amateurs, l’une des plus belles est à vendre !) nous emmène jusqu’au vieux pont de pierre enjambant le Clain. Un petit monument rappelle les exactions de représailles, commises par les nazis (les boches selon la plaque) qui y fusillèrent 3 agriculteurs arrachés à leurs travaux des champs.
La petite troupe de randonneurs s’engage à nouveau le long du Clain, atteint le Moulin Vieux (la légende locale prétend que Brigitte Bardot vint le visiter, cherchant une villégiature plus tranquille que la Madrague à Saint –Trop’….) et parvient à Commenjard. En passant devant le château du Parc, dont dépendaient jadis les 3 fermes du Bugé et maintenant devenu une école privée catholique très traditionnaliste.
En franchissant à nouveau le Clain, nous apercevons notre point de départ, en haut de la colline et nous arrivons à notre but alors que la pluie commence à se radoucir.
Catherine a emmené un plus petit groupe de 5 marcheurs, volontaires, sur le parcours de 5 à 6 kms. Hormis le passage à la grotte, ils prendront un chemin identique jusqu’à la Baudonnière et la Millière, sans effectuer la boucle jusqu’à Says, mais ils bénéficieront des commentaires de leur guide, qui a passé toute sa jeunesse dans ces lieux.
Après s’être essuyés et changés, les deux groupes de randonneurs sont heureux de retrouver les amis qui nous attendent sagement, ainsi que l’apéritif, à l’Auberge du Clain à Sommières.
Nous nous retrouvons nettement plus nombreux à table : 38 convives et les marcheurs du jour qui, malgré le temps peu clément, ont apprécié les parcours, demandent de recommencer ces marches, sous le soleil. Rendez-vous est donc pris pour le printemps, voire l’été prochain.





Malgré un temps peu engageant depuis quelques semaines et une randonnée le 26 septembre sous une pluie battante, nous étions quand même 27 présents mardi matin à Vivonne.
Après un café réconfortant, 13 sont partis sur le grand parcours de 11 kms et 14 sur le petit de 7,8 kms sous une légère pluie.
Notre itinéraire passait à quelques pas de l’ancien château fort de Vivonne où se trouve le vieux village de Sais. En surplomb du village et dominant la vallée de la Vonne, se dresse l’ancienne église Notre-Dame de Sais mentionnée dans les archives dès 1097. Transformée en logement au XXe siècle, l’ancienne église dont la toiture a entièrement été restaurée est aujourd’hui désaffectée.
Suivant un petit chemin bucolique ombragé de figuiers (en fait nous n’avions pas besoin d’ombre, mais de parapluies…et les figues n’étaient pas assez mures pour les gourmand-e-s), nous sommes redescendus dans Vivonne pour rejoindre un chemin tout le long de la Vonne, pleine rive avec les pluies abondantes.
A la sortie de ce chemin, nous avons retrouvé le soleil pour continuer notre randonnée sur des chemins serpentant entre les bois et les champs. Gros contraste en arrivant ou nous enjambons la 4 voies par la passerelle.
Nous nous sommes ensuite retrouvés au Relais Routier de Vivonne pour un repas copieux et convivial avec quelques amis non marcheur mais mangeur.
Vivement les prochaines marches.

















Rendez-vous sur la place de Magné à 14 heures, nous ne sommes pas très nombreux à affronter les caprices de la météo, 14 personnes.
Malgré un ciel gris et menaçant, nous formons 2 groupes pour 2 parcours, un de 8 kilomètres avec 2 personnes, l'autre de 11 personnes, les plus courageux, pour une dizaine de kilomètres. Et nous partons à travers la campagne et les chemins, sans averses sur les premiers kilomètres, ensuite il fallait mieux être équiper de vêtements imperméables....
Malgré la pluie persistante, les 2 groupes se sont retrouvés, pour une photo, aux abords de "la fontaine du Puyrabier" dont l'eau habituellement d'un bleu profond était légèrement trouble.
Ce sont les aléas climatiques, mais nous avons eu le plaisir de nous retrouver
Il y aura des jours meilleurs et moins humides




En ce matin du 12 novembre, dans la vallée de la Boivre, sous un ciel couvert, la trentaine de marcheurs se sont élancés, après une légère collation, sur un premier sentier qui les mena sur le haut d’un coteau.
De ces hauteurs en se retournant, une belle vue sur le village de Béruges et devant eux le château de l’Epinay (XIXème).
Un peu plus loin, le château de la Raudière (XIXème) avec sa magnifique grille, ses écuries et son pigeonnier, puis une descente progressive les conduisit au château de la Commanderie (XVIème) et enfin au moulin de Visais où une petite passerelle permit de traverser la Boivre.
Là nos deux groupes de marcheurs se séparèrent, l’un ayant choisi le parcours de 7 km, par un sentier entre rivière et coteau boisé, il purent regagner le point de départ.
Le groupe des marcheurs au long cours (11km) guidé par un Brugeois, Pierre Kaspratz ancien de la Banque de France et fidèle client du CATP s’est lancé à gravir le coteau par un chemin qui les mena au hameau de Boussais.
Puis, ils poursuivirent vers la Bourdillère pour terminer par les vestiges de la tour de Ganne (dite de Guyenne) en partie démantelée sur ordre de Louis X en représailles à la révolte de Ugues X ,comte de la marche dont elle dépendait.
Ils regagnèrent le lieu d’arrivée par le bourg de Béruges.
Bien entendu ces joyeux équipages, en appétit, se retrouvèrent ensuite pour partager un repas convivial au restaurant « Les Wisigoths » à Vouillé.































Bienvenue en Pays Melusin !
Il y a à peu près un an que cette marche de 11,5 km était prévue, et ce 26 novembre 2024, elle a été proposée par Michel Martin en espérant un temps d’automne. Son désir a été exaucé car nous avons eu un temps calme et sans pluie contrairement aux jours précédents.
Nous étions 15 braves à démarrer notre périple direction Cloue en prenant la route de Malvaux où se trouve une jolie grotte avec sa source. Compte tenu de la distance, nous avons pris un raccourci afin d’atteindre la commune de Cloue.
Par la suite c’est par un chemin enherbé que nous sommes arrivés à l’ancien passage à niveau de la nationale reliant Lusignan à Poitiers et nous sommes descendus direction le camping en longeant la forêt.
Comme nous formions un groupe de qualité, nous avons pu poursuivre par le dessert en montant environ une centaine de marches afin d’atteindre le parc de Blossac en passant devant la piscine de la Fée Mélusine. De cet endroit, nous dominons la plage, le camping et le viaduc ferroviaire. Par la suite, nous avons pris les petites ruelles de la ville (tout juste refaites) pour rejoindre nos véhicules sur le parking du camping.







La pluie surprend les randonneurs dès leur arrivée dans le village. Aussi les organisateurs choisissent de préparer la table pour le café sous un hangar libre au lieu-dit Bourpeuil. Jean-Louis part, avec Jeanine, en éclaireurs vers le lieu du rendez-vous en plein-centre de Morthemer, pour poser nos pancartes et avertir les premiers arrivants de l’endroit où ils pourront s’abriter.
Au-dessus de nous, trône le majestueux château avec son donjon, rénové en style Renaissance et l’église attenante. Nos deux équipes, réchauffées par le café, le thé et quelques petits gâteaux, redescendent vers notre point de départ, alors que la pluie, très compréhensive, cesse ses hostilités.
Tout le monde traverse le petit pont-écluse sur la Dive et se dirige par un joli chemin arboré, vers le hameau de Chanteloup. Le rythme des marcheurs au long cours s’accélère et ceux-ci abandonnent lâchement leurs amis du petit parcours, emmenés par Maryse. A la sortie des bois, le chemin, qui est l’ancienne voie ferrée reliant notamment Fleuré à Chauvigny, nous mène à travers une plaine légèrement vallonnée, jusqu’à un pont de pierre, où deux escaliers en rondins de bois, nous permettent de gagnerla petite route qui rejoint le hameau de Salles. Grâce à Eliette qui connaît bien l’endroit, le groupe de la petite marche y visitera la chapelle locale. Ensuite en longeant l’autre rive de la Dive, tous admireront trois moulins anciens :le Moulin Neuf, qui a bien vieilli, le moulin des Forges Moulismes, avec une magnifique roue extérieure, qui est mitraillée par les smartphones et, enfin le Moulin Bourgeois. Et la Dive nous ramène dans les faubourgs de Morthemer
Les marcheurs « Grande Randonnée »partent ensuite vers le village de la Chapelle-Morthemer en passant par le Bois des tombes (on ne les a pas vues !). Au lieu de suivre la route montante sinueuse, nous coupons par un petit chemin, au milieu duquel, un arbre s’est abattu, et n’a pas encore reçu la visite des cantonniers. Il faut alors se faufiler parmi les branchages, où escalader le tronc (vive l’aventure !). Le chemin nous amène, en longeant un petit cimetière, au pied de l’église, montée en grade, Notre- Dame de la Chapelle-Morthemer.
Ensuite il faut redescendre vers Morthemer, par une jolie route étroite, à travers bois, et découvrir à nouveau l’imposant donjon du château, bien haut perché. D’ailleurs pour atteindre la place d’entrée de ce château, il faut grimper un sacré raidillon, heureusement pas trop long. Obligation de reprendre son souffle.
Le château, propriété privée n’est pas visitable, mais par contre, les 2 groupes ont pu traverser l’église romane, remaniée gothique. Elle parait grande pour ce village et est reliée directement au château. Jolie surprise que la petite crypte, ornée,en son plafond, d’une très belle fresque.
Attention en redescendant les marches un peu glissantes pour passer sous un petit porche médiéval et se retrouver au bord de la dive.
Après cette petite visite culturelle, il est temps de se diriger vers Tercé, où le restaurant le Mythic nous attend. Nos anciens marcheurs sont là : Alain, Nicolle, Claude, Odette, Jean-Marie et Gisèle, impatients de trinquer avec nous.
L’ambiance est conviviale et joyeuse pour ce dernier repas 2024 et rendez- vous est pris pour la galette à Sèvres le 7 janvier : 2025 est proche.





























Par un bel après-midi de fin d'automne, 17 pèlerins ont parcouru les chemins aux alentours de l'Abbaye de Nouaillé-Maupertuis. Après la venelle du sentier des douves, ils ont marché entre le Miosson, qu'ils franchiront plusieurs fois, et le bois de la Garenne. Ils sont passés à côté de l'ancienne briquetterie, ont longé le quartier de Villeneuve. Plus loin, ils ont remarqué une construction comme une yourte en forme de poire couverte de bardeaux de peuplier près des Bordes, ont longé à nouveau le Miosson puis une grande basse-cour (poules, canards, oies, dindes et … cochons d'inde) à Pezay avant de pénétrer dans le bois des Grands Saules. Après une grande descente (sur la "Voie verte"), ils ont rejoint le "carrefour du monde" avant de retrouver Villeneuve puis le gué de l'Omme. Ils ont alors d'un pas résolu pénétré dans le bois de la Garenne et par le chemin des Moines atteint la Cave aux Loups. C'est alors que se sont présentés à leur regard à travers les branches sans feuilles les bâtiments de l'Abbaye, l'église, le logis abbatial (maintenant la Mairie). Les tuteurs de houblon étaient vides, mais, à l'arrivée sur la place du Souvenir, ils ont pu se réconforter avec des gâteaux et des boissons.
Ils ont franchi au cours de leur pérégrination 8 ponts mais ont choisi pour la photo avant leur périple un autre pont, qu'ils n'ont pas franchi. Mais ils ont pu y entendre une explication au pied levé sur l'histoire de l'abbaye par la bibliothécaire de Nouaillé.
Ce fut un périple automnal, amical, historique, bucolique, entre arbres et rivière, 10 km avec des hauts et des bas (120 m de dénivelé positif). Vous n'y étiez pas ? Dommage !